Guerre de sécession chez les Gaulois !
Posted by Administrator in Uncategorized at 8:45 am | 
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Sécession, on vous dit .. pas succession ne confondez pas tout . Les Gaulois vivent en régime démocratique. Les chefs y sont élus pour leurs qualités humaines et professionnelles. Sinon, vous imaginez la cour du roi Pétaud. On nommerait les fils et les cousins, et on se transmettrait le pouvoir de génération en génération. A la vitesse où les népotes dégénèrent, ça serait une belle catastrophe. Enfin, comme disait un des maîtres du carnute hippophile, il est douloureux de choisir ses chefs mais il est encore plus stupide de les choisir.
Mais ce n’est pas de succession que nous vous parlons aujourd’hui mais de sécession. Cette sécession était d’ailleurs une préparation de la succession. Autrefois, le conseil des chefs se réunissait et discutait de tout. Cela donnait à chacun un sentiment d’importance. Il participait au pouvoir. Malheureusement, certains des chefs se croyaient autorisés à une liberté de ton qui déplaisait au chef suprême. Alors un, jour, poussé par Cégétix, qui était aussi veule que Détritus quand il était jeune, le chef décida de couper le conseil des chefs.
On créa un sous-conseil – où on traitait notamment des exécutions, et où seuls furent admis les membres du premier cercle (Yanix Brutus, Cégétix, Missi-Dominix-nix-nix, Ajeancanonichou, Juno-Beach-ix et… Iso-9-X).
Et bien entendu, le courage n’étant pas la vertu première des Gaulois d’en haut, qui préfèrent regarder le bas de leurs braies lorsqu’ils ont une mauvaise nouvelle a annoncer, tout ceci se fit dans le plus grand secret, et les exclus, parmi lesquels Depandantix et Internationalix, l’apprirent a posteriori.
Dirent qu’ils en furent marris est une litote. Eux qui depuis des années soutenaient le pouvoir en place – sans se départir d’un esprit critique certain – les voilà rejetés et condamnés à la clandestinité comme les premiers chrétiens que l’on chassait dans les sous-sols.
Après avoir ruminé un certain temps leur sort, ils décidèrent de faire sécession. Et puisque on les chassait, ils se placeraient sous la protection de St Hubert, qui avait une chapelle dans une cave. Et depuis, ils se réunissent régulièrement en un joyeux banquet où il est de tradition de médire férocement de l’autre conseil des chefs.
Mais ils sont fins, les exclus. Ils ont pensé à inviter Iso-9-X a leur crypto banquet. D’abord cela leur permet d’être tenu au courant de ce qui se passe – car Iso-9-X ne se gène pas – en privé – pour critiquer la politique centrale.
Ensuite comme Iso-9-X parle trop, cela permet de faire repasser quelques messages au soviet suprême.
Il ne restait qu’une question non résolue, pourquoi Iso-9-X accepte-t-il d’être à la fois dans les deux cercles ? Une fois il déjeune avec l’un, une fois il déjeune avec l’autre. Parfois même ça l’oblige à déjeuner deux fois. Mais bon, il faut bien qu’il se nourrisse ce grand gaillard qui a toujours faim.
Ca doit être de là que cela lui vient, sa réputation de bouffer à tous les râteliers.
The 6th 2005f October, 2005 at 7:33 pm
“9- 15 X 05, dernière chronique
Eh eh … cher(e) ami(e) gaulois(e), est-ce que les camps de travail de Toutprevux vous auraient fait perdre tout sens critique ?
La dernière chronique, celle du 15 Octobre, vous ne pensiez tout de même pas qu’on allait la mettre en ligne d’avance.
N’est-il pas plus drôle de laisser conjecturer ceux qui ont des tas de choses à cacher ? Eh oui, le 15 X sera pour l’un des plus veules une mauvase date. Mais patience.”
————— fin de citation ——————————–
QUOI ????????????????? Dernière chronique ? Ca te reprend, cher chroniqueur ? Je pensais que le 23 septembre n’était qu’une déprime passagère… Non, non, non, non ! Je suis une p’tite tête, moi, j’a dû mal comprendre. J’ai mal compris, hein ? dis oui, dis oui…
The 6th 2005f October, 2005 at 11:30 pm
Quos vult perdere Jupiter dementat. Tu quoque, Imprecator. Utinam dei venationis mox nobis faveant! Atrebati Carnutique pacati socii sunt. Parvum parva decent. Orant ut ab bello gallico labori sui parsi sint, sed frustra… Jus gladiumque Caesari adsunt.